Les gènes jouent un rôle dans le sommeil de bébé la nuit

Les parents qui éprouvent des difficultés à obtenir leurs bébés à dormir toute la nuit peuvent être quelque peu soulagés par une nouvelle étude montre qu'un grand déterminant de sommeil nocturne d'un enfant est tout simplement la chance du tirage génétique.

Des chercheurs canadiens ont étudié les dossiers de sommeil de près de 1.000 jumeaux identiques et fraternels au Québec, et a constaté que les gènes déterminent en grande partie si c la nuit. Toutefois, la capacité des enfants à faire la sieste pendant la journée est contrôlée plus par leur environnement.

Alors que certains parents peuvent se trouver chanceux d'avoir un sommeil profond, les chercheurs ont dit il ya aussi des façons d'aider un enfant long .

«L'influence génétique n'est qu'une partie de l'équation qui contrôle la durée du sommeil. On ne doit pas renoncer à essayer corriger la durée du sommeil insuffisant ou de mauvaises habitudes de sommeil au début de l'enfance», a déclaré auteur de l'étude Evelyne Touchette, un chercheur en psychologie à l'Université Laval à Québec.

Les chercheurs ont découvert il ya un moment particulièrement sensible de l'influence des interventions parentales, aux alentours de 18 mois, Touchette dit. "C'est un bon moment pour mettre en œuvre des stratégies de sommeil afin d'améliorer les habitudes de sommeil de nuit de l'enfant s'ils ne sont pas déjà en place », dit-elle.

Les parents ne doivent pas présumer qu'un enfant qui n'a pas l'air de dormir suffisamment n'a pas besoin de plus de sommeil, Touchette dit.

Seulement 5 pour cent des enfants de l'étude ont été considérés comme «agents dormants court persistant», ce qui signifie qu'ils semblaient avoir besoin de moins de 10 heures de sommeil par nuit. "Il faut faire preuve de prudence avant de conclure que leur enfant est vraiment un court dormeur. Plus souvent, les enfants ne reçoivent pas suffisamment de sommeil pour d'autres raisons», dit-elle.

Dans l'étude, les chercheurs n'ont pas l'air de gènes spécifiques associés au sommeil, mais plutôt cherché à déterminer si les jumeaux identiques étaient plus susceptibles que les jumeaux fraternels de partager les habitudes de sommeil.

Alors que les enfants peuvent varier dans leurs habitudes de sommeil
, il ya quelques étapes à surveiller, a déclaré le Dr Dennis Rosen, directeur médical adjoint du centre pour les troubles du sommeil pédiatrique à l'Hôpital et auteur de Boston Children de «Stratégies de sommeil réussies pour les enfants» (Harvard University , 2012).

A 6 semaines, les bébés commencent sieste deux à trois fois par jour, se déplaçant à deux siestes par jour selon l'âge de 6 mois, at-il dit. À 18 mois, un bébé devrait être réduit à une sieste pendant la journée.

«La plupart des enfants sont finis avec des siestes pendant la journée au moment où ils sont sur le point 5, mais de nombreux enfants arrêtent la sieste plus tôt", at-il dit.

Dans l'étude québécoise, 4 pour cent des enfants avaient cessé de faire la sieste âge de 4 ans, mais ce nombre était de 68 pour cent dans une étude similaire en provenance d'Italie, montrant la culture a un certain impact sur les temps de sieste.

Il est essentiel de trouver un équilibre entre passer assez de temps au lit, mais pas trop de temps, Rosen dit.

Les enfants n'ont pas suffisamment de temps pour dormir deviennent souvent irritable et de mauvaise humeur, mais les enfants qui restent au lit plus longtemps que nécessaire seront souvent pas rester endormi, ou se réveiller plusieurs fois pendant la nuit.

Les deux Rosen et Touchette dit qu'il est important d'établir une routine qui permet l'autonomie de l'enfant à obtenir eux-mêmes pour dormir.

"A partir d'environ [6 mois], je vous recommande de mettre les enfants au lit quand ils sont somnolents, mais encore éveillé, afin qu'ils puissent développer des associations endormissement appropriées et apprendre à s'endormir sur leurs propres ", a déclaré Touchette, ajoutant que cela aide aussi enfants de se rendormir rapidement quand ils se réveillent la nuit.

Les parents devraient rechercher des problèmes de sommeil possibles, tels que les ronflements bruyants, haletant ou pauses dans la respiration. Mais même les autres questions qui ont un enfant les parents constamment se réveiller peut être problématique.

"Ce sont des choses qui ne sont pas des questions médicales, mais ils peuvent être très perturbateur", a déclaré Rosen. «Les parents ont besoin de dormir aussi."

«Parler à quelqu'un qui connaît bien le sommeil chez les enfants, un spécialiste du pédiatre ou du sommeil, peut être très bénéfique."