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Huge ‘Tornado’ on the Sun

samedi 31 mars 2012

Huge ‘Tornado’ on the Sun:

Spectacular rotation of material from solar prominences and the coronal cavities on September 25, 2011. Credit: NASA/Dr. Xing Li, Dr. Huw Morgan and Mr. Drew Leonard.
The Solar Dynamics Observatory captured images and video of a spectacular rotation of material from the Sun in a solar prominence. The whirling, dancing prominence created a massive tornado-like feature on the Sun, five times bigger than the Earth. “This is perhaps the first time that such a huge solar tornado is filmed by an imager,” said Dr. Xing Li of Aberystwyth University, presenting his team’s work at the National Astronomy Meeting this week in the UK. “The superb spatial and temporal resolution of SDO allows us to observe the solar atmosphere in great detail.”
(...)
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© nancy for Universe Today, 2012. | Permalink | 7 comments |
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La Lune, Jupiter et Vénus le 25 et le 26 mars au soir…

vendredi 30 mars 2012

La Lune, Jupiter et Vénus le 25 et le 26 mars au soir…:
Lune Vénus Jupiter Paris Serge Brunier
La Lune, Jupiter et Vénus à Paris, le 25 mars à 21 h. Photo Serge Brunier.
Des milliers d’astronomes amateurs ont contemplé le premier acte de la spectaculaire conjonction entre la Lune, Vénus et Jupiter ce 25 mars. Ce soir, dès la fin du crépuscule, la Lune était aux côtés de Jupiter, demain, le croissant lunaire, plus lumineux encore, croisera Vénus. Rien de plus simple que de photographier ce magnifique phénomène céleste : un appareil doté d’un objectif de 15 à 35 mm de focale, un pied photo. Réglez l’appareil entre 400 et 1000 ISO, réglez le diaphragme entre 2.8 et 5.6, et posez entre 1 et 10 secondes. N’oubliez pas d’utilisez un déclencheur souple ou le retardateur de l’appareil et bien sûr de couper le flash. A vos appareils photo !

La Lune au plus près de Vénus, le 26 mars à 21 heures. Photo Serge Brunier.

La Lune, Jupiter et Vénus le 25 et le 26 mars au soir…

La Lune, Jupiter et Vénus le 25 et le 26 mars au soir…:
Lune Vénus Jupiter Paris Serge Brunier
La Lune, Jupiter et Vénus à Paris, le 25 mars à 21 h. Photo Serge Brunier.
Des milliers d’astronomes amateurs ont contemplé le premier acte de la spectaculaire conjonction entre la Lune, Vénus et Jupiter ce 25 mars. Ce soir, dès la fin du crépuscule, la Lune était aux côtés de Jupiter, demain, le croissant lunaire, plus lumineux encore, croisera Vénus. Rien de plus simple que de photographier ce magnifique phénomène céleste : un appareil doté d’un objectif de 15 à 35 mm de focale, un pied photo. Réglez l’appareil entre 400 et 1000 ISO, réglez le diaphragme entre 2.8 et 5.6, et posez entre 1 et 10 secondes. N’oubliez pas d’utilisez un déclencheur souple ou le retardateur de l’appareil et bien sûr de couper le flash. A vos appareils photo !

La Lune au plus près de Vénus, le 26 mars à 21 heures. Photo Serge Brunier.

La Lune, Jupiter et Vénus le 25 et le 26 mars au soir…

La Lune, Jupiter et Vénus le 25 et le 26 mars au soir…:
Lune Vénus Jupiter Paris Serge Brunier
La Lune, Jupiter et Vénus à Paris, le 25 mars à 21 h. Photo Serge Brunier.
Des milliers d’astronomes amateurs ont contemplé le premier acte de la spectaculaire conjonction entre la Lune, Vénus et Jupiter ce 25 mars. Ce soir, dès la fin du crépuscule, la Lune était aux côtés de Jupiter, demain, le croissant lunaire, plus lumineux encore, croisera Vénus. Rien de plus simple que de photographier ce magnifique phénomène céleste : un appareil doté d’un objectif de 15 à 35 mm de focale, un pied photo. Réglez l’appareil entre 400 et 1000 ISO, réglez le diaphragme entre 2.8 et 5.6, et posez entre 1 et 10 secondes. N’oubliez pas d’utilisez un déclencheur souple ou le retardateur de l’appareil et bien sûr de couper le flash. A vos appareils photo !

La Lune au plus près de Vénus, le 26 mars à 21 heures. Photo Serge Brunier.

Des dizaines de milliards de “super Terre” dans la Voie lactée

Des dizaines de milliards de “super Terre” dans la Voie lactée:

Gliese 667 Cc ESO Harps La Silla
Représentation imaginaire du paysage de la planète Gliese 667 Cc. Dessin ESO.
 Les astronomes européens viennent de publier une étude statistique remarquable concernant les exoplanètes, ces planètes qui tournent autour d’autres étoiles que le Soleil… Utilisant l’instrument Harps, équipant le télescope de 3,6 mètres de diamètre de La Silla, au Chili, l’équipe de Xavier Bonfils, Xavier Delfosse, Thierry Forveille, Christian Perrier et leurs collaborateurs, a publié dans la revue scientifique Astronomy & Astrophysics la première estimation du nombre de planètes de faibles masses tournant autour des étoiles naines rouges de la Voie lactée, notre galaxie… Les naines rouges sont de petites étoiles, environ dix fois moins massives et mille fois moins brillantes que notre Soleil. Libérant moins d’énergie que les plus grosses étoiles, elles sont plus froides, donc plus rouges, et ont une espérance de vie bien plus longue que leurs cousines plus massives. Une naine rouge peut briller cent milliards d’années… Cette longévité explique que les naines rouges soient si nombreuses dans la Galaxie : leur groupe représente 80 % de la population stellaire totale. L’équipe européenne, essentiellement franco-suisse, a cherché des planètes autour de 102 naines rouges et les a observé cinq cents nuits durant, sur une période de six ans… Au total, neuf « super Terre » ont été trouvées avec le spectrographe ultrasensible Harps, grâce à l’infime mouvement de va-et-vient qu’elles imprimaient à leur étoile. En projetant ce nombre à la Galaxie entière, cela implique qu’il existe des dizaines de milliards, peut-être cent milliards, de « super Terre » autour des naines rouges… Un nombre vertigineux, qui confirme l’estimation haute du nombre total de planètes existant, peut-être, dans la Voie lactée : mille milliards.

Les super Terre, ce sont des astres situés à mi-chemin des planètes rocheuses, comme Mars, Vénus et la Terre, et des planètes gazeuses, comme Uranus, Neptune ou Saturne. De tels astres n’existent pas dans notre propre système solaire mais ils sont légions, donc, dans la Voie lactée. Certaines super Terre sont peut-être essentiellement gazeuses, d’autres sont peut-être recouvertes d’une épaisse atmosphère, ou d’eau liquide, comme Gliese 1214 b… L’équipe de Xavier Bonfils avance, dans son article, que 41 % des super Terre trouvées autour des naines rouges sont situées dans la « zone habitable » de leur étoile, c’est à dire à une distance telle que l’eau liquide pourrait y couler, comme sur Terre, à condition que leurs atmosphères aient la bonne pression et la bonne température. Les termes choisis par les astronomes sont révélateurs : « super Terre » et « habitables », on ne peut être plus clair dans l’intention et l’orientation données aux observations, tournées vers la recherche de la vie sur ces autres mondes…

Or les « super Terre » des étoiles naines rouges découvertes par l’équipe européenne doivent ressembler à peu près à tout, sauf à la Terre… En effet, si l’on ne sait rien des conditions physiques règnant à leur surface, rien de leurs hypothétiques atmosphères, on sait en revanche que ces planètes, très proches de leurs étoiles, sont gravitationnellement « verrouillées », c’est à dire tournent perpétuellement la même face à leur soleil rouge. D’un côté, le jour éternel, de l’autre, la nuit éternelle. Sur l’hémisphère éclairé, faisant face à l’étoile, le flux des rayons X et les éruptions photosphériques fulgurantes, on a connu mondes plus accueillants… Mars, par exemple, toute proche de la Terre, mais dont on ne peut pas dire qu’elle soit un parangon de luxuriance… Pour décider de la présence de vie sur une autre planète, il « suffirait » aux astronomes d’observer attentivement ces astres pour y découvrir des traceurs biologiques, par exemple la présence de chlorophylle à leur surface, ou de gaz, ozone, méthane, sensés être produits par des êtres vivants… Plus facile à dire qu’à faire : depuis une bonne vingtaine d’années, les scientifiques proposent à l’Agence spatiale européenne (ESA) et à sa grande soeur américaine, la Nasa, des missions spatiales dédiées à la recherche de la vie extraterrestre. Ce sont, par exemple, les missions Darwin ou TPF, des réseaux de télescopes spatiaux suffisamment sensibles pour détecter les dits traceurs. Ces missions sont régulièrement repoussées par les instances scientifiques ; trop complexes, trop chères, trop… incertaines ? Les planètes « habitables » découvertes par l’équipe de Harps, comme celles découvertes par leurs collègues américains utilisant le satellite Kepler, sont situées à des dizaines, voire des centaines d’années-lumière de la Terre. Aucun télescope actuel n’est capable de les voir, simplement de les voir : aujourd’hui, il s’agit de simples points sur des courbes photométriques, ou des raies d’absorption dansant dans un spectre. Aucun télescope, dans un avenir prévisible, ne sera capable d’y détecter – si elle existe – une activité biologique, sauf à rêver, pourquoi pas, d’une planète tout à la fois aussi luxuriante que la Terre et située extraordinairement près de nous. Il est à craindre, en fait, que la détection univoque d’une planète « habitée » soit impossible dans les décennies ou les siècles à venir : ces fameux traceurs biologiques jugés irréfutables voici dix ans, sont désormais considérés comme caducs aujourd’hui, en témoigne par exemple, sur Mars, l’émission de méthane qui pourrait tout aussi bien révéler la présence de petits hommes verts bien cachés dans des grottes que, plus prosaïquement, une activité physico chimique… Les « super Terre » « habitables » font rêver, la SF, depuis les années 1950, nous a habitué à imaginer d’autres mondes, de Trantor à Pandora en passant par Tatooine et Dune. L’une des planètes découvertes par l’équipe de Xavier Bonfils a d’ailleurs tout pour faire rêver et fantasmer… Gliese 667 Cc est une super Terre, environ 3,5 fois plus massive que la Terre, tournant en un mois autour de sa naine rouge, Gliese 667 C, laquelle appartient à un système stellaire triple. Située à seize millions de kilomètres de son étoile, portée à 3500 °C, elle reçoit environ 90 % de l’énergie reçue par la Terre. Mieux, à l’échelle astronomique, Gliese 667 Cc est remarquablement proche de la Terre, vingt trois années-lumière « seulement ». Voilà pour le rêve, représenté par un beau paysage imaginaire, publié par l’ESO pour accompagner la découverte de ce monde exotique. Jaugeons maintenant ce rêve à la réalité des observations : Gliese 667 Cc n’a jamais été vue par personne. Aujourd’hui, elle existe sous la seule forme d’un très léger balancement de la trajectoire de son étoile… Une exoplanète telle que Gliese 667 Cc, située à 23 années-lumière de la Terre, présente un diamètre apparent de 0,00001 seconde d’arc environ. Un tel angle est minuscule ; cela signifie que, pour distinguer cette planète comme un minuscule disque lumineux, sans le moindre détail, il faudrait un télescope grossissant six millions de fois, doté d’un miroir de dix kilomètres de diamètre… Pour détecter quelques détails à la surface de cette planète, il faudrait un télescope de cent kilomètres de diamètre. Enfin, pour réaliser in situ une photographie des paysages de la planète éclairée par ses trois soleils, se reflètant sur ses hypothétiques océans, lacs et étangs, où, peut-être s’ébattent et languissent d’immenses créatures reptiliennes, il faudrait y envoyer une sonde dont le voyage durerait, avec les fusées actuelles, un demi million d’années…

La grandeur, et la servitude, aussi, de l’observation du ciel, c’est cela ; si l’astronomie ouvre des champs infinis à l’imaginaire humain, elle leur oppose, aussi, des gouffres abyssaux, peut-être à jamais infranchissables.
Serge Brunier

La Bible, une invention ? Et l'Evangile de Judas ?

mardi 27 mars 2012

La Bible, une invention ?

Et l'Evangile de Judas ?
:
Un évangile apocryphe déjà classé comme hérétique par saint Irénée au IIème siècle, évêque de Lyon et postérieur à la rédaction des évangiles de la Bible, écrits au Ier siècle. Ce texte est connu depuis les débuts du christianisme et n'a donc jamais été caché par l'Eglise.
Jésus a bel et bien appelé Judas : jusqu'au bout, il lui a fait confiance, espérant qu'en vivant dans son intimité, il changerait. L'amour patiente à l'infini et jamais ne se lasse, quelle que soit la fragilité de la personne. Mystère de la (...)


Revenez demain pour un nouveau Jeu

mardi 20 mars 2012

Avec BD en ligne

L'histoire du jour c'est chaque jour une histoire différente sélectionnée parmi les références de l'Abdel-INN. C'est une manière originale de partager avec vos visiteurs votre passion des histoires électroniques, ou tout simplement d'enrichir le contenu de votre site. Par exemple, aujourd'hui :

Poèmes : Le poème du jour

Poèmes : Le poème du jour

TV5MONDE- Les expressions imagées de la langue française

TV5MONDE- Les expressions imagées de la langue française

Le vivre et le couvert

Le vivre et le couvert:
Signification : La nourriture et le gîte
Origine : Expression française du XVIIème siècle qui viendrait d’une fable de la Fontaine où vivre serait prise dans un ancien sens et serait synonyme de subsistance et le couvert signifiant toit ou abri selon le dictionnaire de l’époque. Le pléonasme qui semble être perçu dans cette expression française  viendrait du fait  que le couvert de notre époque serait un ustensile de table. Il s’en est suivi la création d’une expression synonyme à savoir le gîte et le couvert utilisée en langage parlé pour laisser la première version à l’usage  des écrits dans un style soutenu.
Pourtant l’expression synonyme avoir le gîte et le couvert a connu aussi quelques difficultés d’interprétation : En effet, et selon le dictionnaire de l’époque le gîte viendrait du verbe gésir et signifie être couché, et serait donc l’endroit où l’on passe la nuit. Le couvert serait quant à lui le toit de la maison ce qui ferait que même sous cette forme notre expression contiendrait les mêmes pléonasmes.
Expression française synonyme : Le gîte et le couvert

lundi 19 mars 2012

La meilleure position en lecture rapide

La lecture rapide est une aptitude qui s'acquiert. Elle n'est pas à la portée de tout le monde et ne peut être faite n'importe où. Vous ne verrez pas souvent une personne faire de la lecture rapide sur un banc dans le parc ou dans un bus. C'est parce qu'il faut trouver non seulement une place propice à la concentration mais aussi une position propre à fournir les meilleurs résultats. Afin que les yeux puissent balayer la page au rythme requis par la lecture rapide,...

La lecture rapide est une aptitude qui s'acquiert. Elle n'est pas à la portée de tout le monde et ne peut être faite n'importe où. Vous ne verrez pas souvent une personne faire de la lecture rapide sur un banc dans le parc ou dans un bus. C'est parce qu'il faut trouver non seulement une place propice à la concentration mais aussi une position propre à fournir les meilleurs résultats.

Afin que les yeux puissent balayer la page au rythme requis par la lecture rapide, le livre doit se trouver à une certaine distance des yeux et dans une certaine position. En situation idéale, le livre doit être placé à 38 cm des yeux et en position légèrement inclinée. C'est parce que les yeux arrivent à mieux suivre le texte de cette façon que si le livre était posé à plat sur le bureau. Pour obtenir la meilleure position, placez un autre livre par derrière ou achetez un dispositif qui le soutiendra à votre place. Les deux solutions sont acceptées afin d'obtenir la meilleure position de lecture rapide.

Vous devez aussi surveiller la position de votre corps. On a l'habitude de s'allonger sur le lit un livre à la main, mais il est important de savoir que ça n'est pas une position recommandée en lecture rapide. La meilleure position est de se tenir tout droit assis sur une chaise.

Beaucoup de lecteurs rapides préfèrent s'asseoir devant un bureau, le dos bien droit et une lampe à la lumière faible située à proximité.

Ça va sans dire que la chambre de lecture doit être silencieuse. Tout bruit, comme des gens qui parlent ou le son d'une télé ou radio, pourrait faiblir votre concentration. Votre cerveau doit être entièrement concentré sur la lecture, ainsi toute autre distraction est-elle déconseillée.

Un endroit idéal qui réunit toutes les conditions pour une bonne lecture est la bibliothèque. Il y en a des livres partout, vous pourrez donc choisir à volonté ; l'ambiance est tranquille, vous ne risquerez pas d'y perdre concentration. Nombre de bibliothèques sont même pourvues de cabines de lecture avec des bureaux inclinés, parfaits pour soutenir le livre en position de lecture.

En allant à la bibliothèque aussi souvent que possible, vous aurez la chance de travailler dans un milieu spécialement conçu pour les lecteurs ; c'est là que vous aurez le plus de chances d'améliorer vos aptitudes de lecture. A mesure que vous deviendrez meilleurs, vous aurez plus de choix de lectures qui chasseront le risque d'ennui.

Vous êtes étudiant ? Quand on étudie, on passe sa journée à lire ! Du matin au soir, polycopiés, livres, articles, arrêts, études, thèses, mémoires, copies... Des centaines et des centaines de pages à lire, relire, comprendre, apprendre, mais surtout RETENIR.

Lire plus vite, quand on est étudiant, c'est passer moins de temps à apprendre les choses, et passer plus de temps à se détendre.

C'est être plus efficace aussi. Car lorsque l'on n'est plus stressé pour lire et apprendre, on a les idées plus claires. On est mieux organisé... On gagne du temps... sur tout...

Si vous êtes avocat, ou médecin, ou cadre, ou dirigeant d'entreprise, lire plus vite peut vous permettre de diminuer vos temps de lectures de documents techniques, arrêts, et autre par 2 !

Vous êtes plus performant, vous prenez connaissance de tous vos documents en deux fois moins de temps, ce qui vous permet soit d'être plus disponible pour autre chose !

Mais surtout, cela vous permet de MIEUX comprendre et de mieux RETENIR les informations. Difficile à croire ? Et pourtant, c'est tout ce qu'il y a de plus logique !

En effet, en lisant plus vite, vous nourrissez votre cerveau à sa vitesse de prédilection !

Car -le saviez-vous ?- votre cerveau pense à une vitesse incroyable ! Bien plus rapide que la plus rapide de vos actions !


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par Jean-Marc Gros (02/04/2011)
Ce sujet vous intéresse? Voici 7 techniques pour lire plus vite, mieux comprendre et mieux retenir en vous fatigant moins. Pour recevoir les secrets de la lecture rapide et efficace, lire avec plus de plaisir et moins d'efforts cliquez ici. Source: Fruitymag
 

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