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L'origine de The Voice, un format vite exporté !

samedi 14 avril 2012

L'origine de The Voice, un format vite exporté !:
The Voice of Holland est un télé-crochet néerlandais créé en 2010 par John de Mol (fondateur d'Endemol), et diffusé sur la chaîne RTL4 aux Pays-Bas. 


La première saison, présentée par Martijn Krabbé et Wendy van Dijk (présentent aussi l'édition néerlandaise de X Factor), a débuté le 17 septembre 2010 et s'achèvera le 21 janvier 2011 après 18 semaines de compétition. 
The Voice Of Holland, véritable succès de RTL4 a su tirer parti de son concept et son déroulement novateurs. Dépassant en termes d'audience, ses homologues Idols et même X Factor, The Voice Of Holland est le nouveau télé-crochet que les chaînes du monde entier souhaitent adapter. 


The Voice of Holland


Ainsi, aux États-Unis, c'est la NBC qui a sauté sur cette occasion en or de contrer la Fox, sa rivale, qui diffusera son adaptation de The X Factor en septembre 2011. NBC ne perd pas de temps et a donc décidé de programmer une première saison de The Voice (c'est ainsi que la version américaine s'appellera) dès le 26 avril 2011. 
La Belgique a également acheté le format et l'a adapté en fin 2011 en néerlandais sur VTM (Flandre) et en français sur la RTBF. 
La France n'est pas en reste puisque la société de production Shine France a acheté le format et les deux plus grandes chaînes nationales, à savoir TF1 et M6 se sont immédiatement montrées intéressées. C'est finalement TF1 qui remporte le duel, et qui mettra sa nouvelle Star Academy à l'antenne en 2012.

La mafia médico-pharmaceutique a encore frappé…..

dimanche 8 avril 2012

La mafia médico-pharmaceutique a encore frappé…..: Quand ça fonctionne…c’est interdit. Pourquoi interdire une préparation qui soulage ? parce que ça ne fait pas les affaires de Big-Pharma, qui préfère entretenir des malades qui rapportent. Pourtant les plantes soignent depuis des milliers d’années…… Après la suspension de la fabrication du Tictox chez Nutrivital à Mundolsheim (également en Alsace), produit phytothérapique utilisé par nombre de malades et médecins pour tenter de soigner la borréliose chronique, voici que ce laboratoire, bien connu pour ses sérologies spécifiques sur Lyme, se voit infliger à son tour une « suspension d’autorisation de fonctionnement » par arrêté préfectoral (Préfecture du Bas-Rhin). Le 11 février au… Lire la suite...

Histoire de l’art et piété filiale

Histoire de l’art et piété filiale:
Que le livre d’Anne Sinclair 21, rue de La Boétie (299 pages, 20,50 euros, Grasset) rencontre un grand succès public eu égard à la notoriété de l’auteur, c’est dans l’ordre des choses. Que ledit succès participe de son retour sur la scène médiatique après les douloureux-événements-que-l’on-sait, tant mieux pour elle. Que la critique se pâme, on en a vu d’autres et on en verra d’autres. Mais qu’elle abdique tout esprit critique pour tout ce qui, dans ce récit, relève de l’histoire de l’art, voilà qui est plus étrange. A travers l’évocation de l’itinéraire de sa famille en France sous l'Occupation et dans les tourments de la seconde guerre mondiale, 21, rue La Boétie est en effet largement consacré à l’activité de marchand de tableaux du grand-père de l’auteur, Paul Rosenberg. C’est un hommage filial et il faut le lire comme tel, non la biographie d’un marchand. On peut déjà être surpris qu’Anne Sinclair utilise souvent comme une source principale le livre de Pierre Nahon, Les marchands d’art en France [éditions de la Différence, 1998], alors que le galeriste n’a fait ni œuvre d’historien ni même œuvre de chercheur. De plus, elle n’a pas su très bien hiérarchiser ses sources ; je le dis avec d’autant plus de détachement qu’en tant que biographe de Daniel-Henri Kahnweiler (L’homme de l’art, Balland, 1988, repris en Folio), j’y suis bien traité. C’est le détail qui montre qu’il ne s’agit pas d’un travail historique. Elle cite des sources familiales, mais il n’y a pas de dates. Lorsqu’Anne Sinclair parle des relations entre Paul Rosenberg et Picasso, elle se base sur ces archives qu’on ne connaît pas. Dommage qu’elle n’en cite pas des extraits significatifs. Elle s’attache à Paul, sans insister sur le tandem qu’il formait avec Léonce. On disait « les frères Rosenberg ». Elle dit rarement « les frères ». Léonce et Paul se compensaient l’un l’autre. Léonce n’était pas du tout un homme d’affaires, mais il s’intéressait aux peintres. Paul était un homme d’affaires avisé, et il avait un flair formidable, un instinct très sûr pour juger autant des tableaux que du marché, mais il ne connaissait rien à l’histoire de l’art. Pour Kahnweiler, Paul était "un brocanteur". Il le voyait en fournisseur et en négociant. Ainsi, lorsqu’en 1919, dans une petite annonce qu’il fit paraître dans la Nrf, Paul fit savoir qu’il était « acheteur de tableaux de Van Gogh », Kahnweiler jugea le procédé insupportable; il. C’était un esprit contraire au sien. En octobre 1920, Paul prend Picasso, mais il refuse d’exposer les Nus sur la place en disant qu’il ne voulait « pas de trou du cul dans ma galerie ». Le vrai partenaire- adversaire de Kahnweiler, c’est Léonce, qui, lui, connaissait la peinture, les peintres et le cubisme.
La tentative d’Anne Sinclair de dresser des parallèles entre son grand-père et D.H. Kahnweiler est vaine, tant ils étaient fondamentalement différents. Kahnweiler, qu’elle présente comme « banquier » alors qu’il a juste travaillé quelques temps dans sa jeunesse à la banque de son oncle, inscrit toute sa pensée, son action, dans la durée quand Paul fait signer à Picasso des contrats de première vue. C’est davantage un homme de coups, en quoi il se rapproche plutôt de l’éditeur Bernard Grasset. Lorsque Kahnweiler revient en France après un exil forcé en Suisse (il était Allemand, donc ennemi) à la fin de la Première Guerre mondiale, il espère retrouver ses artistes, mais ne surenchérit pas. Picasso va le tisonner, mais c’est lui qui sera son marchand dans la durée. Juan Gris, fidèle parmi les fidèles, revient tout de suite, car c’est avec lui, et avec lui seul, qu’il pouvait parler peinture. Georges Braque et Fernand Léger finiront eux aussi par revenir d’une manière ou d’une autre. Le sens de la durée, toujours. Une certaine fidélité, malgré tout. Et surtout la qualité de l’interlocuteur, historien et critique de leur art en train de s'affirmer, tant il est vrai qu’un marchand de tableaux, comme un éditeur, n’est pas qu’un banquier. Anne Sinclair veut à tout prix inscrire son grand-père dans la lignée des grands marchands. Or, Paul Durand-Ruel, celui des impressionnistes et, dans sa lignée, D.H. Kahnweiler, celui des cubistes, sont deux pionniers qui ont inventé leur métier en l’adaptant à leur temps, alors que les Rosenberg n’ont rien inventé. Picasso est momentanément parti chez Rosenberg, puis chez d'autres, car il voulait avoir plusieurs fers au feu. Mais Picasso et Kahnweiler, c’est un couple qui a duré plus d'un demi-siècle, avec des hauts et des bas. Jusqu’à la fin de sa vie, Kahnweiler disait : « Je suis le seul dans le regard duquel Picasso peut voir le reflet de son ancienne misère du Bateau-Lavoir ». Picasso n’aimait pas trop qu’on la lui rappelle ; mais dans le même temps, au fond des yeux de son marchand historique, il pouvait lire aussi que celui-ci fut le seul en 1907 à dire son enthousiasme devant les Demoiselles d’Avignon quand Braque et Apollinaire eux-mêmes criaient au fou.
Si elle n’avait écrit qu’un récit d’enfance doublé d’un émouvant hommage au grand-père, le livre aurait été réduit à la dimension d’une épaisse plaquette. Il fallait le nourrir d’autre chose quitte à magnifier le rôle du prestigieux aïeul dans l’histoire de l’art. Le message est ailleurs, à peine subliminal : la narratrice est certes une femme riche, mais sa fortune lui vient de quelque chose de noble, le commerce de l’art, et non de la spéculation effrénée, encore que les deux ne soient pas indissociables. Quant à la biographie des frères Rosenberg, elle reste à écrire.
P.S. Ce billet est une adaptation de l’interview que je viens d’accorder sur le sujet à Roxana Azimi pour Le Quotidien de l’art
("Paul Rosenberg" photo D.R.; "Daniel-Henry Kahnweiler à son bureau de la galerie Louise Leiris" photo D.R.; "Paul Rosenberg et Charles Durand-Ruel photographiés par Pierre Matisse dans un avion aux Etats-Unis" photo collection famille Rosenberg)

Record du nombre de passagers d’un vol d’avion

dimanche 1 avril 2012

Record du nombre de passagers d’un vol d’avion:
Record du nombre de passagers d’un vol d’avion
Le plus grand nombre de passagers embarqués dans un même vol a été enregistré en 1991 lors de opération Salomon d’évacuation des juifs éthiopiens d’Addis-Abeba à Jérusalem. Un Boeing 747 a embarqué 1222 passagers (1087 enregistrés plus les bébés) soit environ 3 fois sa capacité habituelle ! Visiblement, personne n’avait attaché sa ceinture à l’époque !
 

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